Le musée de l'Absurde c'est quoi?
Suite à l’observation récurrente d’événements, de situations ou encore de comportements absurdes, Sandra Romy, réalisatrice de films d’animation et plasticienne a eu envie de créer un endroit où la réflexion relative à la notion d’absurde serait mise en avant. Le lieu se vit comme une bulle propice à l’évasion, où toutes les formes d’expressions artistiques peuvent se côtoyer, et amener la réalité quotidienne à se perdre.
Pour réaliser son projet, Sandra Romy s’est entourée de personnes actives dans les arts (littérature, arts vivants, musique, cinéma, arts visuels) avec lesquelles elle a fondé l’association Paroxysme de l’Absurde qui a pour but de faire vivre le Musée de l’Absurde et de le gérer, en y présentant notamment des expositions (photographie, dessin, installation, vidéo, etc.), des performances théâtrales, des lectures, des concerts ou encore des ateliers créatifs, favorisant la médiation culturelle. La thématique de l’absurde étant constamment présente et représentée dans ses activités.
Afin de donner une identité forte au musée, la ligne artistique se veut cohérente, tant au niveau de la sélection des travaux que pour l’aspect esthétique, afin de toujours mettre en avant cette thématique de l’ Absurde. Dans ce but, la direction artistique du lieu se soucie ainsi particulièrement du choix des présentations et met en oeuvre une sélection précise et pertinente.
Le Musée de l’Absurde est ainsi ouvert à plusieurs formes d’expression et de réflexion. Outre ses trois expositions par année et ses nombreux événements, le musée accueille régulièrement des événements gustatifs sous l’appellation d’« apéros absurdes » et de « tea-times extravagants ». Le public peut ainsi partager des moments singuliers et originaux. Des ateliers-rencontres tout public sont également donnés, permettant de créer, tester, découvrir des nouvelles pratiques artistiques et d’explorer des activités sortant du quotidien. Le musée sert également de plate-forme d’échanges et de rencontres artistiques.
Pour réaliser son projet, Sandra Romy s’est entourée de personnes actives dans les arts (littérature, arts vivants, musique, cinéma, arts visuels) avec lesquelles elle a fondé l’association Paroxysme de l’Absurde qui a pour but de faire vivre le Musée de l’Absurde et de le gérer, en y présentant notamment des expositions (photographie, dessin, installation, vidéo, etc.), des performances théâtrales, des lectures, des concerts ou encore des ateliers créatifs, favorisant la médiation culturelle. La thématique de l’absurde étant constamment présente et représentée dans ses activités.
Afin de donner une identité forte au musée, la ligne artistique se veut cohérente, tant au niveau de la sélection des travaux que pour l’aspect esthétique, afin de toujours mettre en avant cette thématique de l’ Absurde. Dans ce but, la direction artistique du lieu se soucie ainsi particulièrement du choix des présentations et met en oeuvre une sélection précise et pertinente.
Le Musée de l’Absurde est ainsi ouvert à plusieurs formes d’expression et de réflexion. Outre ses trois expositions par année et ses nombreux événements, le musée accueille régulièrement des événements gustatifs sous l’appellation d’« apéros absurdes » et de « tea-times extravagants ». Le public peut ainsi partager des moments singuliers et originaux. Des ateliers-rencontres tout public sont également donnés, permettant de créer, tester, découvrir des nouvelles pratiques artistiques et d’explorer des activités sortant du quotidien. Le musée sert également de plate-forme d’échanges et de rencontres artistiques.
L’historique
Le Musée de l’Absurde a siégé durant une année dans un espace de 35m2, aux murs asymétriques, à la Rue Haute 19, en vieille ville de Bienne, espace qui a été entièrement rénové pour l’accueillir.
Le public a pu découvrir le musée peu de temps avant son ouverture « officielle » à Bienne, lors d’un apéro-concert de soutien qui a eu lieu le 20 août 2015. Les fonds récoltés à cette occasion ont permis le financement du vernissage de l’exposition BIENNE, MOUSTACHE ET CÉRAMIQUE des artistes Plonk et Replonk, le 1er septembre 2015, jour inaugural du musée. Cette dernière a été un tournant pour accueillir différentes formes d’expressions artistiques, ont suivi trois expositions temporaires ainsi que de nombreux événements.
Une large promotion du Musée de l’Absurde a été réalisée et a rencontré un vif succès.
Dès lors, les abonnés des réseaux sociaux du musée n’ont cessé d’accroître et les visiteurs des quatre coins de la Suisse ont été nombreux à le visiter.
Le 13 septembre 2016, une seconde soirée de soutien au Musée de l’Absurde a été organisée en partenariat avec la Makhno de Genève et l’argent récolté a permis d’acheter le matériel nécessaire à la construction du musée, à Vevey.
Le musée a quitté la ville de Bienne, le 1er octobre 2016. Accueilli et soutenu par la ville de Vevey, il s’est installé dans une ancienne forge en cohabitation avec l’atelier de décoration le Chien Bleu et il a réouvert ses portes le 13 janvier 2017.
Désirant s’adapter à ce lieu singulier, le musée s’est inspiré de l’architecture de la forge et s’est transformé en cabane-usine à roulettes d’une surface de 12 m2. Depuis sa réouverture, les murs de cette cabane insolite ont présenté 6 expositions temporaires ainsi que de nombreux événements.
Le 1er octobre 2019, le musée a été démonté, quittant la ville de Vevey, pour être remonté dans l’Espace19, rue de Genève19, à Lausanne, sa nouvelle terre d’accueil jusqu’à l’été 2022. A partir de l’automne 2022 et suite à la pandémie du COVID-19, le Musée de l’Absurde a décidé de se transformer afin de pouvoir vivre en extérieur tout en privilégiant les énergies renouvelables et d’entamer une vie d’itinérance en se déplaçant de ville en ville afin de faire rayonner la culture absurde auprès de nouveaux publics.
Grâce à la contribution « Projet de transformation COVID19» de la part de l’Etat de Vaud, le Musée de l’Absurde a pu entreprendre des travaux de transformation tout en gardant sa structure de base et se reconstruit sur remorque. Il renaîtra sous une forme mobile et itinérante fin juillet 2023. Sensible au développement durable et à la réduction de l’empreinte écologique, le Musée de l’Absurde souhaite être autonome en matière d’énergie et pour se faire il prévoit un panneau photovoltaïque pour éclairer les oeuvres et un poêle à bois pour se chauffer. Le musée est ravi de pouvoir montrer au public, de part son autonomie en énergie, qu’il est possible de réduire l’empreinte carbone en privilégiant les énergies renouvelables.
Cette transformation permettra également de réduire les coûts considérablement et l’itinérance permettra de ne pas avoir de charges locatives, les lieux étant mis gratuitement à disposition. Le but d’être mobile et de pouvoir s’installer un certain temps dans des villes (Lausanne, Yverdon, Vevey, etc.) permet de faciliter l’accès aux activités culturelles et artistiques en allant au contact des visiteurs, propageant ainsi la médiation culturelle auprès d’un large public.
Le Musée de l’Absurde a siégé durant une année dans un espace de 35m2, aux murs asymétriques, à la Rue Haute 19, en vieille ville de Bienne, espace qui a été entièrement rénové pour l’accueillir.
Le public a pu découvrir le musée peu de temps avant son ouverture « officielle » à Bienne, lors d’un apéro-concert de soutien qui a eu lieu le 20 août 2015. Les fonds récoltés à cette occasion ont permis le financement du vernissage de l’exposition BIENNE, MOUSTACHE ET CÉRAMIQUE des artistes Plonk et Replonk, le 1er septembre 2015, jour inaugural du musée. Cette dernière a été un tournant pour accueillir différentes formes d’expressions artistiques, ont suivi trois expositions temporaires ainsi que de nombreux événements.
Une large promotion du Musée de l’Absurde a été réalisée et a rencontré un vif succès.
Dès lors, les abonnés des réseaux sociaux du musée n’ont cessé d’accroître et les visiteurs des quatre coins de la Suisse ont été nombreux à le visiter.
Le 13 septembre 2016, une seconde soirée de soutien au Musée de l’Absurde a été organisée en partenariat avec la Makhno de Genève et l’argent récolté a permis d’acheter le matériel nécessaire à la construction du musée, à Vevey.
Le musée a quitté la ville de Bienne, le 1er octobre 2016. Accueilli et soutenu par la ville de Vevey, il s’est installé dans une ancienne forge en cohabitation avec l’atelier de décoration le Chien Bleu et il a réouvert ses portes le 13 janvier 2017.
Désirant s’adapter à ce lieu singulier, le musée s’est inspiré de l’architecture de la forge et s’est transformé en cabane-usine à roulettes d’une surface de 12 m2. Depuis sa réouverture, les murs de cette cabane insolite ont présenté 6 expositions temporaires ainsi que de nombreux événements.
Le 1er octobre 2019, le musée a été démonté, quittant la ville de Vevey, pour être remonté dans l’Espace19, rue de Genève19, à Lausanne, sa nouvelle terre d’accueil jusqu’à l’été 2022. A partir de l’automne 2022 et suite à la pandémie du COVID-19, le Musée de l’Absurde a décidé de se transformer afin de pouvoir vivre en extérieur tout en privilégiant les énergies renouvelables et d’entamer une vie d’itinérance en se déplaçant de ville en ville afin de faire rayonner la culture absurde auprès de nouveaux publics.
Grâce à la contribution « Projet de transformation COVID19» de la part de l’Etat de Vaud, le Musée de l’Absurde a pu entreprendre des travaux de transformation tout en gardant sa structure de base et se reconstruit sur remorque. Il renaîtra sous une forme mobile et itinérante fin juillet 2023. Sensible au développement durable et à la réduction de l’empreinte écologique, le Musée de l’Absurde souhaite être autonome en matière d’énergie et pour se faire il prévoit un panneau photovoltaïque pour éclairer les oeuvres et un poêle à bois pour se chauffer. Le musée est ravi de pouvoir montrer au public, de part son autonomie en énergie, qu’il est possible de réduire l’empreinte carbone en privilégiant les énergies renouvelables.
Cette transformation permettra également de réduire les coûts considérablement et l’itinérance permettra de ne pas avoir de charges locatives, les lieux étant mis gratuitement à disposition. Le but d’être mobile et de pouvoir s’installer un certain temps dans des villes (Lausanne, Yverdon, Vevey, etc.) permet de faciliter l’accès aux activités culturelles et artistiques en allant au contact des visiteurs, propageant ainsi la médiation culturelle auprès d’un large public.